Une cuisine qui parle à l’âme
Il y a des voix qu’on a envie d’écouter. Des histoires qui donnent faim, mais pas seulement faim de nourriture. Faim de lien, de douceur, de simplicité retrouvée.
Dans ce joli moment d’échange avec Cédric Hraimi sur Radio Lodève, Véronique Labord raconte ce qui l’anime, ce qui l’a menée à créer “Cuisine pour l’Âme”, et pourquoi elle pense que cuisiner peut être une forme de soin. Pas un soin médical, mais un soin du cœur, du lien, de ce qui nous relie à la vie.
Elle y parle de son parcours, bien sûr. D’un lien à la cuisine qui remonte à l’enfance. De plats simples et faits maison, de ceux qu’on prépare avec les mains, le nez, les souvenirs. D’une reconversion choisie, et d’une envie profonde de transmettre une autre manière de nourrir.
Mais elle va plus loin. Car ce qu’elle propose aujourd’hui, à Bédarieux et dans les environs, ce n’est pas juste “un atelier de cuisine”.
C’est une expérience complète :
- cuisiner avec des produits bio, locaux, de saison
- prendre le temps, être là, revenir à soi
- et partager ça dans une atmosphère simple, chaleureuse, profondément humaine
Ses ateliers sont ouverts à toutes et tous. Que vous soyez à l’aise en cuisine ou pas du tout. Que vous soyez seul·e, en famille, entre amis, en transition…
Véronique adapte chaque session à vos besoins.
Et c’est ce qui rend sa démarche si précieuse : elle n’impose rien, elle propose. Elle accueille.
Dans cette interview, elle évoque aussi les publics qui viennent vers elle :
- des personnes en burn-out, en deuil, en maladie, ou en questionnement
- des gens qui ont besoin de se retrouver dans l’assiette
- ou simplement de se poser et de respirer un peu
C’est une cuisine qui fait du bien. Qui calme. Qui recentre. Et qui redonne du goût à ce qu’on pensait avoir perdu.
Pour découvrir tout ça, je vous invite vraiment à écouter l’interview ici :
On y entend la voix de Véronique, énergique et engagée. On comprend vite qu’il ne s’agit pas de tendance ou de “mode food”.
Mais bien d’un art de vivre, d’un chemin intérieur… que l’on emprunte une cuillère à la main.